Retour des Galápagos après 4 jours passés sur le « Fregata ». Bateau ; en compagnie entre autre de 3 suisses allemands et d’une Roumaine francophones. Des tas et des tas d’animaux. Beaucoup d’oiseaux, des pélicans, des frégates, des albatros et des blue footed boobies. Qui sont eux tellement mignons… On voit aussi énormément de sea lions. Attention pas des phoques, puisque ceux-ci ont des oreilles.

Réveil à 6h et demi tous les matins. Dès 8 heures, nous sommes à terre. Arpentant les falaises à la recherche de la vie sauvage. Nous marchons dans les pas d’Estéban. Notre guide et maître à tous (…) Tous les jours retour à 11 heures, et déjeuner à chaque fois accompagné de jus, mélanges chaque jour plus curieux.
Grands souvenirs à jamais gravés dans ma petite tête : les sorties en palmes masques et tubas dans les eaux glacées de là bas (moins de 15° j’en suis sure.)

Première sortie : Première à l’eau. Il parait que je suis descendue à coté d’un requin. -_- Persuadée qu’il ne s’agit que de la mauvaise et tellement rabâchée blague d’un guide qui s’ennuie, je passe tranquillement mon chemin et rate la seule occasion du séjour que j’aurais eu de voiiiir un requiiiiin. A quelques mètres de là, des raies, des tas de raies… qui nous encerclent. Elles sont grandes, et tachées, assez impressionnantes en fin de compte. Après les raies, une première tortue. Qui nage calmement sous mon ventre… On en verra 4. Le même jour au même endroit. 1 heure et demi dans l’eau, et ils nous récupèrent. La journée continue et il faut rentrer. Sur le bateau je supplie et obtiens un délai, de tout l’après midi ; à condition que je ne m’éloigne pas trop du bateau, et que ça ne m’effraie pas de nager seule. Les mêmes raies que tout à l’heure; elles ne nous encerclent plus, mais m’encerclent moi et c’en est d’autant plus impressionnant. Je nage, un peu hésitante, prête à rentrer finalement…, mais sous les yeux du capitaine du « Fregata » ravi de m’indiquer depuis le pont du bateau les endroits où je serai sûre de trouver de la compagnie. Il est 4heures et demi, le soleil est déjà tel que je n’ai aucune visibilité sous l’eau. Une ombre arrive à droite, je distingue finalement un sea lion. WoOo. Un énorme sea lion même… il disparaît aussi vite qu’il est apparu. Ouf. C’était bien. Je rentre ravie et enchantée, la vie est belle la-li-la-li.
Deuxième sortie : en compagnie du capitaine et dans une eau encore plus froide. On nage parmi des poissons tropicaux dans un méchant courant. On lutte pour avancer, et on est baladé d’avant en arrière comme les poissons sous nous. On arrive dans un genre de crique. Tranquille. Là, un poisson en particulier attirera notre attention : un petit poisson coffre, armé, sais pas trop, qui trainait paisiblement son petit corps épineux près d’un rocher. Très très paisiblement. Comme endormi, dans les vapes, shooté. Sais pas non plus; quoiqu’il en soit… le capitaine nous montre qu’on peut lui gratter le ventre. Le petit aura beau faire, il ne nous échappera pas. Là s’arrête l’expérience.
Le reste du séjour c’est ces photos >(là).
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